L’exposition présentée à Tours en 2024 ressemblait à une porte entrouverte vers l’univers de Skristol : un monde vif, hybride, un peu enfantin, un peu sauvage, toujours en équilibre entre chaos et poésie.
Des sculptures graffées, des personnages félins qui semblent sortir d’un rêve urbain, des trains miniatures transformés en machines à histoires, des textures brutes mêlées à des lumières douces… Chaque pièce donnait l’impression d’être habitée. Comme si quelque chose attendait derrière la surface pour s’échapper.
Ce que j’aime dans le travail de Skristol, c’est cette façon de mêler la rue et l’artisanat, le geste instinctif et le détail ultra-précis. Modelage, peinture, tags, couleurs éclatées, symboles cachés : tout se mélange pour créer un langage visuel unique, à mi-chemin entre l’enfance, la culture urbaine, la mythologie personnelle et l’animalité.
L’exposition rassemblait plusieurs de ses pièces emblématiques — des silhouettes félines, des installations lumineuses, des tableaux qui respirent le street-art et la pop culture — et l’ensemble formait une sorte d’histoire sans mots. Une histoire qu’on devine plus qu’on ne la comprend.
Un univers qui se regarde autant qu’il se ressent.
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